Voyage En Belgique, Vers LEnfer. (1)
Je publie le début de cette saga pour faire profiter les lecteurs de H.D.S. dun des quatre livres que jai publiés et vendus aux éditions Edilivre, sur papier et e-book, ces textes ont été écrits en même temps que « BCBG » ou le « CHANTIER, » je fais simplement un travail de fractionnement.
Jhabite dans la banlieue de Valenciennes dans le nord de la France, jai vingt-six ans et à ce qui mest dit, je suis une jolie femme blonde, jai même entendu dans la rue un homme sapprocher de moi et me glisser à loreille que jétais « bandante.
Mon mari me dit souvent, Léa tu ferais bander un mort.
Jai deux s qui sont élevés par mes beaux-parents près de Sète, laînée est une fille de 8 ans et ½ et le petit un garçon de 7 ans.
Nous nous sommes mariés Pierre et moi, car nous avons fauté une seule fois qui a été la bonne, je venais davoir 18 ans et je ne connaissais rien de la vie, nos familles se sont dépêchées de publier les bans pour éviter tous les ragots, ma fille est née avec une maladie demandant beaucoup de soleil.
Sa maladie pourrait saggraver à Valenciennes.
Nous avons envisagé daller habiter dans ces régions ensoleillées, mais il était difficile de délocaliser la boîte de haute technologie que mon mari a créée à Valenciennes.
Les chercheurs auraient été obligés de changer de vie pour nous suivre et nous aurions eu du mal à en recruter de si performant.
La seule solution a été de les faire vivre chez mes beaux-parents qui se sont retirés près de Sète, nous navons pas voulu séparer les 2 s et je vais les voir en avion une fois par mois.
Familialement je suis fille unique, jai perdu mes parents à quelques mois dintervalle, il y a deux ans, nous vivions, nous aussi dans la banlieue de Valenciennes, je nai jamais connu dautres personnes proches de nous.
La situation de mon mari ne moblige pas à travailler, même à la maison jai une aide-ménagère et entreprise de jardinage qui entretient les 4000 mètres carrés de terrain et les 200 mètres de la maison de plain-pied.
Mon seul plaisir, cest de me coucher tard pour me lever tard.
Tous les mardis après-midi je vais prendre le thé dans un salon avec cinq copines. Nous restons deux heures ensemble à nous raconter les derniers ragots à la mode sur les habitants de Valenciennes.
Question sexe, Pierre et moi, même si nous faisons lamour une fois par semaine, nous navons pas une imagination débordante, il y a peu, nous nous sommes enguirlandés, car lorsquil désirait me prendre, je relevais simplement ma chemise en pilou jusquà ce que mon vagin soit dégagé, depuis je fais un effort et jai repris lhabitude de la retirer, il sest même permis en rigolant de me dire.
Un jour il faudra que je tenvoie au bordel en Belgique, cela tapprendra à vivre.
Jétais tellement offusquée que jai refusé quil me fasse lamour pendant presque un mois.
Au début de notre relation, Pierre une ou deux fois ma présenté sa verge pour que je la suce, trouvant cela dégradant pour une femme mariée, je lai repoussée et depuis, il ne men parle plus, javais toujours entendu que ces pratiques sexuelles étaient réservées aux prostitués.
Dans nos premiers moments, jacceptais de me mettre en position de la levrette, un soir quil avait réussi à me faire prendre cette position et quil avait investi mon vagin, lidée saugrenue lui est venue de placer sa verge sur mon petit trou et voulue y entrer.
Je me suis retourné et lui ai balancé une gifle, je me suis tout de suite excusée, mais cela la refroidit définitivement.
Bref après huit ans de mariage, je suis une femme qui ne sassume pas.
Ce qui me sauve cest que je ne le sais pas moi-même, lors de nos mardis avec les copines, certaines allusions me font douter de mes pratiques sexuelles.
Trop fier pour leur poser des questions sur certains sujets abordés, lorsquune question directe me touche, jai pris lhabitude de biaiser et jusquà ce jour je ne men suis toujours pas mal sorti.
Dans notre villa, au fond du jardin mon mari a fait construire un petit chalet au bord dun bois de bouleaux et de notre piscine qui fait ma fierté, peu de mes amis en possèdent une de plus chauffée.
Autour, des transats me permettent de me faire bronzer intégralement nue nayant aucun risque dêtre observé.
Pour entrer dans la propriété un portail ne peut souvrir que par un déblocage du système de sécurité.
La seule entorse se trouve au fond du petit bois où un petit portillon toujours fermé nous donne un accès direct à la rivière, Pierre aime aller pêcher en passant par un petit chemin sans avoir à contourner plusieurs résidences.
À la fin août alors que nous avons raccompagné les s dans le Sud, je me fais bronzer profitant des derniers rayons du soleil.
Depuis le début de lété sauf lorsque les s étaient là, je nhésite pas à découvrir mes parties intimes.
Je somnole depuis une heure lorsque le ciel me tombe sur la tête.
Bonjour, je ne vous dérange pas.
Au pardon.
Ma première réaction est de me croiser les bras sur mes seins oubliant mon vagin qui est offert, doublement offert, car dans ma somnolence lune de mes jambes sest écartée et il doit voir le rose de mon vagin qui est entièrement ouvert.
Prenant conscience du spectacle que je lui offre, discrètement je ramène ma jambe et je sers les cuisses sur ma toison aussi blonde que mes cheveux.
Lhomme qui est devant moi est le bellâtre qui vient de racheter la propriété voisine.
Il a emménagé avec une bimbo aux gros seins sûrement peu naturels.
Le peu de fois où je lai vu, un mouvement de rejet, cest fait sentir en moi.
Par où êtes-vous entré ?
Par le petit portillon derrière votre petit bois !
Était-il ouvert ?
Je ne me serai pas permis dentrer sinon !
Pierre a dû oublier de le fermer.
Je protège toujours mes seins et trouve puérile de cacher mon vagin après ce quil a déjà vu de moi.
Mieux, il sassoit sur la margelle de la piscine à mes pieds.
Je suis piégée, si je cherche à me relever pour récupérer mon maillot posé sur une petite table hors de portée de ma main, mon vagin lui sera à nouveau offert à quelques centimètres de ses yeux.
Jétais venu vous demander si nous pouvons nous permettre daller à la rivière par votre chemin.
Je ne vois pas dinconvénient, mais jen parlerais à Pierre qui vous le confirmera.
Merci, jattendrai sa réponse.
Alors quil aurait dû se lever pour quitter les lieux, non seulement il ne bouge pas, mais il avance sa main quil pose sur mon mollet.
Vous a-t-on déjà dit que vous avez un corps magnifique ?
À ce moment, même si je lui fais voir mon vagin, jaurais dû me lever et lui retourner une paire de gifles.
Pourquoi, est-ce que je mentends dire ?
Merci.
Ce « merci » doit lui faire croire que tout lui est permis, car il remonte et il descend sa main en sarrêtant juste avant de me toucher les parties intimes.
Ces frottements mélectrisent tous le corps et cest dans un état second que jouvre mes jambes moffrant impudiquement à cet homme qui me révulsait il y a peu.
Je vois votre envie !
Oui !
Je suis folle, mais où tout cela va sarrêter, même si je ne risque rien, je suis en train de me comporter comme une vraie salope.
Je peux vous caresser la vulve.
La vulve, je connais ce mot, comme beaucoup dautres dailleurs, mais c'est un mot banni dans notre monde, avec mes copines, il nous arrive de parler de ces choses principalement lorsquil sagit de problèmes médicaux, mais nous employons seulement les termes de « vagin » ou de « verge.
Le temps où ces pensées me traversent, ma non-réponse doit lui faire penser que jaccepte, car je me retrouve avec trois doigts dans ma chatte.
En employant ce mot, je laisse souvrir les vannes à toutes les luxures, ces doigts dans ma grotte me libèrent de tous mes tabous.
Pourquoi j'enlève lun de mes bras de mes seins pour porter ma main sur le short qui est extrêmement tendue ?
Comment dans la seconde qui suit sans que je men sois aperçu, il présente son sexe à ma bouche ?
Pourquoi je le laisse sinstaller à lintérieur allant même jusquà labsorber et le laissé touche ma glotte !
Pendant ce temps, sa main continue à être dans ma petite fente qui mouille énormément.
Veut-il masservir pour que je sois à lui corps et âme quand-il sort sa main et quil monte ses doigts quil vient denlever de moi ?
Veut-il masservir lorsquil me fait lécher mes propres sécrétions ?
Dès cet instant plus rien en moi ne mappartient, jatt sa queue pour la masturber.
Je me sers de mon autre main pour me maltraiter la chatte.
Jinsiste principalement sur le petit bouton qui a rarement réagi lorsque je lai touché, alors que là, il menvoie des ondes qui irradient tout mon bas-ventre.
Veux-tu que je te baise ?
Il est passé au tutoiement, ça me déstabilise, jarrive complétement au fond du trou lorsque je lui réponds.
Oui !
Lève-toi et place-toi en levrette, tu sentiras ma queue entrer plus loin dans ta chatte.
Je mexécute et je me retrouve la croupe en lair juste à hauteur de son pieu.
Dépêche-toi de menfiler, je veux être ta putain !
Une fois de plus ces mots orduriers en plus dannihiler toutes mes défenses vont me plonger dans un monde que je naurai jamais pu imaginer.
Pour menfiler, il menfile, sa dague pourfend mon sexe qui est très content de le recevoir, je donne de vigoureux coup de cul davant en arrière pour quil me pénètre de plus en plus fort et de plus en plus profondément.
Une claque vigoureuse sabat sur lune de mes fesses, jamais quelquun na osé me traiter de la sorte, pourquoi je laccepte de cet homme dont je ne connais même pas le prénom et encore moins le nom !
La claque identique que je reçois de lautre côté devrait me faire hurler dindignation.
Encore, cest bon !...
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